Chers amis ,
« On a voulu couper les ailes de l´aigle » , pourrait être le titre d´un livre que je veux publier si j´arrive à avoir trois semaines de libre devant moi.
Il reprendra une grande partie des articles de mon blog ainsi que l´anecdote dont je viens d´être victime à mes dépends début juillet et qui explique ma disparition pendant près de 3 mois à la fois sur le plan professionnel et sur le plan médiatique via mon blog.
Ce que je vais vous narrer pourrait en effet constituer matière à un thriller au goût amer .
Début juillet, j´ai été victime, bien malgré moi, d´une agression qui a laissé des cicatrices qui ont mis près de 3 mois à disparaitre . Cela m´est arrivé au mauvais moment et au mauvais endroit.
Quelques jours avant, j´avais eu quelques vertiges de type ménière, comme cela avait déjà pu m´arriver quelques années auparavant.
Après une séance d´ostéopathie, ma situation s´était nettement améliorée et, sur les conseils de mon ami ostéopathe, je suis allé voir une excellente orthoptiste de BORDEAUX, spécialisée en posturologie.
Dès la première séance, le résultat a été miraculeux et nous avons entrepris un programme de rééducation des yeux sur plusieurs semaines , à raison d´une séance tous les jeudi qui est mon jour de liberté.
Comme à l´accoutumée, j´y allais en moto et je revenais chez moi ensuite sans problème même si les séances me laissaient à chaque fois, dans les heures qui suivaient, quelques sensations oculaires bizarres accompagnées parfois de migraines , surtout après les premières séances, ce qui est habituel avec ce genre de traitement et doit disparaitre à votre guérison.
Le jeudi 2 juillet 2015, jour de ma quatrième séance , ma vie a complétement changé pour basculer dans l´horreur. La semaine précédant ces évènements funestes, j´avais eu beaucoup de travail dans mon cabinet dans des circonstances difficiles sous une canicule acharnée, tout particulièrement dans mon bureau qui n´était pas climatisé.
Après cette séance d´orthoptie, je décidai d´aller faire quelques courses dans Bordeaux que je traverse sur ma moto sans aucun problème, grisé par cet espace temps de liberté que je m´étais octroyé.
Je m´arrête alors devant une boutique renommée du centre de Bordeaux et, première erreur pour ne pas perdre de temps, je gare mon gros scooter sur le trottoir, derrière leur vitrine, afin de bien pouvoir le surveiller du coin de l´œil.
Je ne savais pas encore qu´en franchissant cette porte, j´allais écrire la première page d´un conte que nous pourrions appeler les « deux bécasses, les trois abrutis et les deux malfaisants » .
En franchissant cette porte, je faisais le premier pas qui allait me conduire dans l´antre de Méphistophélès!
Au moment de régler les employées de ce magasin, j´ai eu des difficultés à attraper mon portefeuille dans mon blouson car j´avais des poches difficilement accessibles, profondes et bien remplies.
Et oui pour nous les hommes entre le portefeuille , toutes les clés , l´étui à lunettes … etc.. , ce n´est pas toujours facile à gérer.
Je me penche légèrement en avant pour y arriver mais malheureusement ce geste de torsion du cou me déclenche instantanément un vertige violent qui me fait perdre l´équilibre tout en restant debout sur mes deux pieds.Je m´appuie dans un mouvement de réflexe sur leur comptoir sans jamais chuter par terre mais cela a pour conséquence de déclencher immédiatement un envol affolé des deux bécasses. qui se précipitent sur moi, se cramponnent à mon blouson dans l´affolement le plus complet. Comme nous sommes maintenant dans une société où tout le monde a peur de tout et où chacun se sent plus responsable des autres plutôt que de soi même, surtout quand on ne leur demande rien, les deux bécasses affolées, malgré mon opposition formelle, appellent sans mon accord les pompiers.
A ce moment là, je vois arriver non point les 3 mousquetaires mais 3 beaux gaillards, fiers dans leur uniforme avec un discours bien formaté.
C´était un échantillon exceptionnel de la race des super abrutis qui avaient dû avoir une formation médicale accélérée car ils ont immédiatement diagnostiqué en me voyant que je faisais un Accident Vasculaire Cérébral. Ils m´ont donc embarqué sans violence mais en me maintenant fortement dans leur fourgon, après m´avoir signifié qu´ils allaient devoir appeler la maréchaussée si je persistais dans mon désir de partir sur ma moto.
J´ai fait, à ce moment là, une erreur fatale. J´aurais dû en effet leur demander de déguerpir et appeler devant eux mon épouse pour qu´elle vienne me chercher. Mais que faire , je ne me voyais pas me battre avec ces pompiers dans la rue ou faire une esclandre sur le trottoir et j´avais appris dans ma vie à faire confiance aux pompiers et à l´armée.
,Si vous expliquez à des pompiers qu´ils ont moins d´une heure pour intervenir en présence d´un cas d´accident cérébral, tel du bétail que l´on mène à l´abattoir, ils vont obéir aux ordres sans se poser plus de questions .
Ils sont incapables d´imaginer que les médecins qui étaient venus leur parler de ces nouvelles techniques sont des formateurs corrompus qui ont bien oublié de leur expliquer que eux pompiers avaient la nécessité de leur amener dans leur unité de traitement un maximum de patients avec AVC .
Pour alimenter leurs statistiques et valider ces nouvelles techniques ces médecin ont toujours besoin d´un maximum de cas à traiter.
En arrivant à l´unité de soins intensifs de neurologie, je fais encore deux erreurs .
La première , lorsqu´ils me demandent si je suis médecin généraliste car nos braves pompiers les avaient déjà prévenu de mon statut professionnel, je leur réponds » allez sur Google et tapez mon nom , vous verrez ainsi à qui vous avez affaire ! »
Erreur fatale car compte tenu de la suite je pense effectivement qu´ils sont allés se renseigner sur mon compte.
Deuxième erreur encore plus fatale :
Je leur annonce avec conviction et vigueur, dès mon entrée dans ce service, que je vais les quitter très rapidement car je dois partir sans tarder pour l´Espagne.
Mon calvaire a commencé alors. Ceux qui ont eu déjà un vertige de ménière seront plus à même de me comprendre. En effet, après un vertige de ce type, on ressent, pendant quelques minutes, une perte de tous ses repères, voir des nausées et surtout un grand désir de calme et de sérénité pour pouvoir rapidement revenir à la normale .
Dans mon cas, on a commencé à s´agiter auprès de moi et alors que je commençais à vouloir m´assoir pour quitter ces lieux devenus maudits pour moi, le médecin de garde, le Dr Patrice. M. m´agresse violemment en m´obligeant à rester allongé et en me criant dessus: » Il vous faut rester allongé !!! vous le savez bien pourquoi vous , il vous faut rester à plat » !
Et non je ne sais pas pourquoi il me faut rester allongé après un vertige de ménière , d´autant plus que j´ai pu rapidement m´auto contrôler et vérifier que je n´avais rien de paralysé, aucun trouble du langage ni de compréhension ,ni de la vue, aucun trouble de la sensibilité .
j´ai même vérifié que j´étais capable de siffler pour m´assurer l´absence de paralysie faciale.
Par contre, quand vous êtes maintenu à plat sur un brancard, vous ne pouvez plus voir de ce qui se passe autour de vous. Il existe aussi un autre inconvénient majeur lorsque vous portez, comme moi, des lunettes avec des verres progressifs, c´est que vous voyez très mal autant pour la vision de près que la vision de loin .
Des verres progressifs ne fonctionnent bien que si vous êtes en position assise ou debout (ou plus rare la tête en bas ).
On m´a enlevé alors rapidement mon blouson.
Ceux qui ont perdu pour moi le titre de confrère ont considéré dans leur rapport que j´étais confus et indifférent sur mon coté gauche et l´ont bien notifié sur mon rapport de sortie pour se prémunir de tout reproche ensuite. En fait, tout ceci peut s´expliquer facilement si l´on considère que d´une part, j´étais obsédé par l´idée d´échapper à mes tortionnaires et d´autre part, car grâce à de nombreux dossiers que je conserve précieusement, je connaissais très bien le grand pouvoir de nuisances dont pouvaient être capables de très rares ( heureusement ) confrères hospitaliers.
Les plus dangereux sont ceux qui sont motivés par le désir de gloire et l´espoir de prébendes qu´ils pourraient obtenir auprès de gros laboratoires pharmaceutiques qui les ont fortement incités à mettre en place des protocoles expérimentaux avec, bien sûr, la complicité active et passive des autorités sanitaires.
Depuis de nombreuses années , la presse et moi même via ce blog avons régulièrement dénoncé de tels comportements qui devraient, selon nos lois en vigueur, être largement sanctionnés par la justice de notre pays, mais peine perdue !
De plus, ayant durant mes études trainé très longuement dans les services hospitaliers, je savais qu´il me fallait surveiller de très près mon blouson où il y avait mon portefeuille .
Finalement, ils m´ont piqué mon portefeuille et contrôlé tout ce qu´il y avait dedans ( rien ne m´a été volé et j´ai tout récupéré ensuite) mais par contre, alors que sur ma demande on me confiait enfin mon téléphone, preuve s´il en est que j´étais bien conscient de tout ce qui se passait, contrairement à ce qui a été noté dans ma fiche de sortie et comme j´avais du mal à lire rapidement le nom de mes contacts sur mon téléphone du fait de la position couchée , le Dr Patrice M. m´arrache violemment mon téléphone des mains en criant : « on perd inutilement du temps » et se met à explorer mon téléphone. en se cachant derrière d´autres personnes présentes que je devine mais que vois mal car je suis maintenu à plat sur mon brancard.
Puis à ce moment là , j´entends crier celui qui m´a fauché mon téléphone :
« Anne Sophie c´est qui ? ». Je suis très surpris car j´ai l´impression de subir un interrogatoire de police. « c´est ma fille, voyons ! » je réponds aussitôt.
« Et Brigitte ? » , toujours en criant , « ben ma femme quoi » « Et domicile ? » « ben c´est chez moi », je lui réponds encore.
Là, il se décide à appeler chez moi où il tombe enfin sur mon épouse .
A cet instant là, je l´entends lui expliquer que je suis dans le service d´unité de soins intensifs neurologiques d´urgence du Tripode et il lui confirme ce que j´avais déjà su observer moi même à savoir que je mon état neurologique est bon , que je suis conscient , que je parle de mon cas avec eux sur le plan médical et que je ne présente aucune paralysie , même si je suis en train de faire ( selon eux ) un accident vasculaire cérébral ( ou AVC ) .
Ensuite , on m´emmène immédiatement passer un scanner cérébral , proposition qui me parait logique et à laquelle je donne mon accord, mais je ne savais pas que l´on allait me faire un examen expérimental de dernière génération permettant de visualiser des images avec un traitement numérique spécial basé sur des algorithmes mathématiques soit disant extraordinaires et permettant de voir des images vasculaires que l´on ne pouvait pas voir autrefois avec un scanner traditionnel , mais pouvant ainsi visualiser des images que l´on avait envie de voir même si en réalité elles n´existaient pas , ce que j´ai découvert à mes dépends.
A la sortie du scanner , le même qui m´avait agressé au début vient me susurrer à l´oreille avec un ton que je perçois naïvement comme de la sympathie que je présente un accident vasculaire cérébral obstruant partiellement l´artère temporo pariétale droite.
Finalement on m´a refait le coup des deux policiers à savoir le gentil et le méchant.
Après lui avoir demandé par deux fois la confirmation de ce diagnostic et sachant bien, compte tenues de mes connaissances médicales remontant à mon époque estudiantine et reposant maintenant sur plus de 30 ans de pratiques médicales des plus complexes , je sais pertinent que ce qu´on m´annonce est impossible car je devrais obligatoirement présenter à ce moment là une hémiplégie gauche ou une une hémiparésie gauche ( atteinte de la sensibilité de tout le coté gauche ) + troubles du langage et de la compréhension + troubles visuels avec une paralysie faciale gauche.
J´exige alors immédiatement de voir les clichés de mon scanner. Pour quelqu´un en mauvaise posture présentant un accident cérébral, c´est étonnant, non ?
Ce n´est pas grave car l´interne du service Antoine S., veille au grain et avec un bon lavage de cerveau , il lui sera plus facile de tenter de me convaincre que je présente une atteinte du champ visuel à gauche , puis il suffira de bidouiller le rapport de sortie et le tour sera joué.
Avec moi cependant ils sont tombés sur un dur à cuire !
Grâce à un un dossier aussi bien bétonné pour ne pas dire trafiqué, le traitement vendu par le laboratoire Boehringer et que l´on va m´injecter sera considéré comme m´ayant été appliqué de manière conforme aux conseils de bonnes pratiques médicales établis par la haute autorité de santé ou HAS .
Très rapidement, je me retrouve dans une chambre de réanimation et une fois installé sur mon lit de torture on vient m´amener une console d´ordinateur pour que je puisse étudier les clichés de mon scanner.
D´ailleurs, j´aurais du être plus vigilant en constatant dans ce service la présence pléthorique d´infirmières et la débauche de matériel high tech , ce qui n´est pas coutumier dans nos services hospitaliers sauf si des intérêts privés les financent largement.
J´avais d´ailleurs profité de cet espace de liberté et je m´étais assis, les pieds pendant hors du lit.
Pour comprendre le reste de mon histoire, il très important de bien visualiser la scène car tout le reste en dépend.
Je regarde enfin mes clichés de scanner (il ne faut pas oublier que j´ai le bras gauche occupé par une perfusion qui a servi au scanner) et bien évidement la console d´ordinateur se trouve du coté opposé à la perfusion , il m´est donc impossible de me rendre compte de ce qui peut se passer dans mon dos , est ce le hasard ?
On me montre des images que je ne comprends pas car à ce moment je croyais voir des images traditionnelles de scanner et ce sont des images inconnues pour moi car issues d´une nouvelle technologie en cours de développement.
Comme je conteste toujours le diagnostic d´AVC, un des deux techniciens de la médecine vient me susurrer à l´oreille: » toutes ces tâches bleues, c´est votre accident vasculaire ».
Ma réponse ne doit pas les satisfaire car je manifeste fermement mon doute sur ce diagnostic et malheureusement c´est bien plus tard que je me suis rendu compte que j´avais oublié une des règles élémentaires de survie, à savoir qu´il faut toujours se garder de ses arrières.
Je ne vois donc pas ce qui se passe dans mon dos , derrière moi et il est donc très facile de m´injecter, ni vu ni connu un tranquillisant de type Valium ou Tranxene.
Seule cette éventualité peut justifier la suite des événements.
Ils savent très bien compte tenu de mes déclarations initiales `a mon arrivée dans ces lieux néfastes pour moi que dans la mesure où après avoir vu les images du scanner , si je continue à contester le diagnostic d´accident vasculaire cérébral , je vais ipso facto rentrer chez moi .
Mais alors que j´aurais déjà du prendre immédiatement la poudre d´escampette avec mon épouse qui devait logiquement être arrivée , je réalise en fait que je suis allongé dans mon lit où je me laisse enlever mon pantalon sans opposer aucune résistance mais avec un trouble visuel étrange et une passivité déconcertante .
C´est bien la preuve qu´à mon insu on m´a drogué car si c´était l´AVC qui était responsable de cette perte de de conscience , même un simple étudiant de quatrième année de médecine de mon époque pourrait vous expliquer que du fait de la soit disant localisation cérébrale de mon AVC je devrais obligatoirement présenter une hémiplégie gauche et des troubles du langages .
Mon rapport de sortie confirme d´ailleurs bien l´absence de signes cliniques avant la thrombolyse.
Si je n´ai aucun signe clinique pourquoi donc on m´a injecté cette saloperie mortifère ?
Comme les prisonniers qui rentrent en prison, on fouille alors allégrement mon portefeuille et l´on me fait le décompte de la somme qui s´y trouve.
Déjà, le lavage de cerveau va commencer en me signalant avec une petite voix mielleuse : « Vous savez, M. Moulinier on va conserver votre l´argent. Je découvrirai après que rien ne m´a été volé mais qu´on avait largement exploré mon portefeuille comme mon téléphone d´ailleurs .
D´un seul coup, je sens que l´on me fait une échographie abdominale pour contrôler ma vessie, ce qui m´est confirmé alors. Je n´ai su qu ´après qu´il était vital de vérifier sur moi l´absence de problèmes de vessie ou de prostate avant de m´injecter la saloperie qui m´était destinée.
Si j´avais eu le moindre polype dans ma vessie ou dans l´intestin je serai mort à l´heure actuelle car on m´aurait déclenché une hémorragie irrécupérable!
Aussitôt après, j´entends la même voix mielleuse : « Mr Moulinier (et oui, je viens de perdre mon titre de docteur Moulinier pour celui de Mr Moulinier) , nous allons vous faire une prise de sang et cela peut vous faire un peu mal ».
Et non, grosse menteuse, cela fait très mal car tu me poses un gros cathéter, c´est la procédure obligatoire pour m´injecter ce poison que vous allez m´inoculer dans mon corps et le bilan sanguin tu le feras plus tard comme l´atteste mon dossier de sortie.
Je vous fais grâce des autres humiliations que j´ai dû subir car cela devrait rallonger par trop mon article et comme tout prisonnier qui a été torturé mais qui vient d´être récemment libéré, cela reste encore trop douloureux pour moi d´évoquer tout ceci.
Quand mon épouse me retrouve à peine 10 minutes après l´injection de ce produit inoculé contre ma volonté en me droguant pour m´obliger à le subir , elle est surprise de constater que je ne présente aucune paralysie , que je suis capable de lui répondre correctement mais avec une somnolence anormale qui lui semble incompréhensible. J´estime à 20 minutes l´action du tranquillisant que l´on m´a injecté .
Quand elle me donne mon téléphone et m´aide à l´allumer, je constate outre une migraine affreuse avec des douleurs abominables qui descendent jusqu´au bas de ma colonne vertébrale, que je ne vois plus les chiffres sur la gauche comme le le 05.56. de tous mes contacts.
Je réalise aussi que l´on a fouillé dans mon téléphone car, celui qui l´a fait, a modifié des fonctions puisque ce dernier ayant 2 cartes Sim doit se manipuler avec un minimum de connaissances de mon smartphone.
Dans une vaste action de tentative de lavage de cerveau l´interne du service Antoine essayera plusieurs fois comme l´ensemble des infirmières de me convaincre que je présente une importante atteinte du champ visuel du coté gauche , ce qui s´appelle hémianopsie homonyme latérale gauche. Ils vont essayer aussi le lendemain de continuer à me convaincre que mes troubles visuels s´amélioraient grâce à l´injection de cette véritable saloperie que l´on m´avait inoculé , ce qui était entièrement faux car mes troubles visuels étaient bien apparus uniquement après l´injection du produit .
Grâce à mon épouse, j´ai pu quitter contre l´avis de tout le monde cet endroit sordide à J+24H avec une IRM réalisée après cette injection mortifère et non avant comme cela aurait du.
Elle avait mis d´autant plus de zèle à venir me chercher qu’elle connaissait ma détermination à refuser toute tentative de contrainte et elle avait appris par les infirmières qu´ils avaient envisagé à un moment de m´attacher dans mon lit.
Une heure avant mon départ, je découvre pour la première fois avec toute sa cour le chef service ces lieux sordides. Il était fou de rage de savoir que je quittais cet endroit en me permettant de contester leur diagnostic et de lui tenir tête face sa cour. C´est avec une joie immense qu´il m´a menacé sans preuve et en évoquant ma soit disant atteinte de mon champ visuel gauche de me dénoncer à la commission du permis de conduire et en me signifiant que je n´avais plus le droit de conduire mes véhicules.
De plus, en refusant de rester les 5 jours prévus par le protocole, je l´empêchai en quittant son service aussi vite de pouvoir publier mon dossier comme prévu dans la procédure le guidant vers la gloire espérée.
C´est d´autant plus intolérable que je lui ai adressé après ma sortie le certificat que mon orthoptiste venait de me donner et qui confirmait que mon champ visuel était normal à 100 % , je lui ai adressé aussi le certificat médical d´un excellent ophtalmologiste de Bordeaux qui a pu attester sans aucune difficulté que mon état visuel me permettait de conduire , les deux certificats étant en date du 9 juillet 2015 .
Cette pseudo atteinte visuelle de mon champ visuel gauche constituait la seule preuve qui leur restait pour justifier la mise en place d´un traitement que l´on m´avait contraint par la force à accepter . Leur intérêt était donc d´éviter de me faire un champ visuel avant tout traitement , ce qui leur permettait ainsi d’éviter toute polémique de ma part si je voulais ensuite contester leur diagnostic. Ils savaient bien en fait que l´on aurait pu éviter de m´injecter ce traitement , ce qui apparait très clairement sur la cotation internationale qui m´a été attribué pour définir ma situation clinique à ´mon arrivée.
Il était donc plus sécurisant pour eux d´éviter de me faire un champ visuel avant et après traitement.
Ce poison que l´on m ´a injecté s´appelle Alteplase ou Actilyse.
C´est de la bidouille génétique faite à partir de broyat de cellules d´ovaires de hamster chinois ( donc certainement fabriqué en Chine ) et vendu à un prix que j´ignore par le laboratoire Boehringer.
Ci-dessous, vous avez un extrait de la page Vidal concernant ce produit.
Si vous voulez connaitre une petite partie des effets secondaires répertoriés sur le vidal
CLIQUEZ :ICI
Le problème c´est qu´une grosse partie des effets secondaires dont un risque de décès de 3 à 7 % a disparu du Vidal.
Comment est-ce possible ? Et bien, entre 2012 et 2015, des médecins collaborateurs du laboratoire fabriquant l´Actilyse, le laboratoire Boehringer, a envoyé une équipe musclée de leurs médecins pour apporter de nouvelles infos à la haute autorité de santé ( HAS ). Pour ceux qui veulent voir cette publication assez rébarbative, il y a 22 pages.
CLIQUEZ : ICI
Par contre, je vous livre le plus savoureux ci-dessous
Là, j´apprends qu´il y aurait 8,4 % de décès pour ceux à qui on a donné un placebo contre 7,7 % de décès contre ceux qui ont reçu l´Actilyse.
Pour les membres de la commission HAS pour lesquels il me faudrait vérifier qu´ils n´aient aucun lien d´intérêts avec le laboratoire fabriquant , oublions les effets secondaires graves , gobons tout et fermons bien les yeux car cela permet ainsi d´affirmer que l´Actilyse est un produit miraculeux du traitement de l´A.V.C et sans danger.
Je suspecte quand à moi une bidouille classique et trop souvent utilisée aussi ignoble que l´utilisation de cellules d´ovaires d´hamster chinois et qui consisterait à manipuler les chiffres pour qu´une grosse partie des décès du lot Actilyse se retrouvent en fait par un jeu d´écritures dans le lot dit des placebos.
Et voilà, le tour est joué. On peut donc grâce à cette étude proposer l´Actilyse comme traitement de référence de l´AVC car il n´y aurait pas plus décès avec l´Actilyse que ceux traités par un placebo .
Vous voyez, mes chers amis, à la fin de cette sordide aventure je ressens la douloureuse sensation d´avoir été violé même si je n´ai pas été abusé sexuellement.
Finalement j´ai été torturé ! Humilié
j´ai été´amené contre mon gré dans un lieu où on m´a drogué pour m´injecter une véritable saloperie où il était précisé à l´époque que j´avais un risque de plus de 3 % de décès dans les 30 jours qui suivaient l´injection de ce produit, information qui a mystérieusement disparu d´internet depuis que je l´ai reproché par écrit au responsable de ce service maudit pour moi.
Je leur en ai voulu longtemps car il m´a fallu plus de 3 mois avant de redevenir opérationnel.
J´ai en effet souffert le martyre du dos car cette saloperie m´avait déclenché des micro saignements sous arachnoïdiens (l´arachnoïde est des 3 enveloppes méningées qui protègent la moelle épinière).
L´analyse de l´IRM post traitement avec un de mes amis brillant radiologue de bordeaux m´a permis de confirmer cette hypothèse.
Lorsque je me suis évadé de ce lieu de torture, je marchais comme un vieillard , devant m´appuyer sur l´épaule de mon fils pour arriver à quitter ce service aussi inhospitalier pour moi.
Même mon fils s´était laissé abuser car il croyait que j´avais été sauvé par cette équipe .
Le voir douter de son propre père a été une grande souffrance, surtout quand il m´a menacé de refuser de pousser mon fauteuil roulant si je persistais dans mon désir de partir faire de la plongée à Madagascar. Je ne lui ai pardonné car il s´imaginait que tous les médecins étaient animés à l´image de son père par le désir de se sacrifier pour le bien de leurs patients.
Depuis, il a compris ce qui m´était arrivé mais j´en ai voulu longtemps à toute cette équipe de médecins qui a oublié les principes sacrés de la médecine pour se livrer à la politique exclusive du chiffre et à l´application stricte de protocoles pour se transformer en de froids techniciens ayant abandonné et perdu, toute once d´humanité .
Comme vous pouvez vous en douter , je ne suis pas resté inactif et dès mon retour à domicile, soit J+24 h , j´ai tout d´abord envoyé une longue lettre pour me plaindre au chef de service ainsi qu´une demande officielle pour obtenir la copie du dossier infirmier où devrait se voir notifier comme la loi les y oblige le nom du produit qui m´a été injecté pour me neutraliser.
Je m´en suis sorti finalement au bout de 3 mois mais, cela a été un long parcours douloureux.
Je tiens pour ce faire à remercier tout ceux qui m´ont aidés sans rentrer dans les détails car ils sont si nombreux que je vais fatalement en oublier et je serais peiné d´en oublier un seul .
Dans les grandes lignes, et sans exception, l´ensemble des membres de ma famille la plus proche de même que tous mes amis et tous mes collaborateurs.
J´ai été grandement aidé aussi par les traitements à base de perfusions que je m´appliquais déjà pour me maintenir en forme et que j´applique à de nombreux patients depuis de nombreuses années avec beaucoup de succès, notamment sur le plan cardio vasculaire.
Pendant 2 mois, je me les suis appliqué avec intensité en y ajoutant l´auto-hémothérapie et cela a été´très efficace comme je peux vous le démontrer ce jour .
Beaucoup de mes patients se demandent comment je tiens le coup, mais en fait ma pierre angulaire repose sur ma famille, à commencer par mon épouse et mes enfants puis mes amis et mes patients ainsi que l´énergie que je leur transmets et qu´ils me rendent bien.
Mon amie orthoptiste de Bordeaux Marie Agnès DESPLATS m´a été d´un grand secours en m´aidant à récupérer ma vue qui avait gravement été perturbée par l´Actilyse qui avait déclenché sur moi une forte diplopie ( troubles du parallélisme des yeux).
Mon séjour à Madagascar m´a permis en 4 semaines de me refaire une santé physique et mentale ce qui m´a conduit à passer 12 jours merveilleux de plongées à raison de 2 plongées par jour dont une à 40 m, preuve encore que je n´ai jamais eu d´accident vasculaire cérébral mais un simple vertige de ménière au mauvais moment et au mauvais endroit.
Afin de remercier ce beau pays dont j´avais entendu parler en mal avant d´y arriver et afin de vous aider à le découvrir je pense y consacrer un prochain article sur ce blog avec tous les adresses utiles pour vous permettre d´y organiser un séjour au meilleur rapport qualité prix.
Pour me refaire une santé mentale , la spiritualité et la foi m´ont aidé à me reconstruire de même que mon patient et ami le père Claude Cantet Cela a commencé à bloquer ma descente inexorable vers le coté obscur de la force et de la haine .
Ma vie a toujours été le résultat de rencontres opportunes de personnes qui ont croisé mon chemin pile poil au bon moment pour m´aider à surmonter de graves difficultés .
C´est ainsi que le jour où j´ai du me présenter à Paris pour ma dernière affaire devant ce pseudo tribunal du conseil national de l´ordre des Médecins, émanation des tribunaux de la sainte inquisition j´ai vu arriver à a la sortie tels les chevaliers teutoniques 3 personnes qui allaient me changer ma vie.
Il s´agissait de Jean Pierre CAUVERT , véritable chevalier blanc , accompagné de son écuyer jJacques DERETZ et de la bonne fée Isabelle CAZAL.
Pour ceux qui veulent visiter leur site CLIQUEZ : ICI
Tels de preux chevaliers ils avaient traversé la France pour me proposer leur services. Leur arme secrète n´était pas l´épée Durandal mais une arme encore plus puissante qui s´appelle EMDR et qui allait me transformer radicalement.
Dans mon expérience professionnelle j´ai été amené à prendre en charge des patients basques qui avaient été torturés.Je ne connaissais pas encore l´ EMDR et c´est dommage. Il m´était difficile à l´époque de comprendre le comportement de certains et cette malheureuse expérience me permet maintenant de mieux comprendre leurs souffrances.
Le souci c´est que quand vous rentrez dans l´antre de Méphistophélès , il est dur d´en sortir indemne.
Mes amis Jean Pierre et Isabelle m´ont permis de comprendre à quel point, comme dans le film la guerre des étoiles j´étais en train de basculer vers le coté obscur de la force .
La haine et mon désir de vengeance étaient en train de me tuer à petit feu. J´en voulais énormément à ces individus qui en me détruisant ainsi avaient aussi détruit mon idéal absolu de la Médecine qui doit reposer sur la compassion avant de privilégier la froideur potentiellement mortifère de la technologie .
Jean Pierre et Isabelle ont réussi sur moi comme pratiquement sur tous ceux que je leur ai adressé le miracle de m´aider à renaitre .
Et enfin je revis car je suis en paix
Ils ont même réussi pour la deuxième fois grâce à leur savoir faire et leur savoir être de m´accorder un bonus bien agréable.
Maintenant quand je revois à l´esprit le visage de mes différents tortionnaires , je rigole et je reste en paix car j´ai pris conscience du caractère triste de leur destinée derrière leurs minables statistiques.
Passez votre chemin manants , votre destin et votre chemin de vie sont différents du mien.
Je serais même prêts à leur pardonner mais avant il faudrait qu´ils fassent acte de contrition et qu´ils s´engagent à arrêter de nuire de la sorte à leurs prochains .
Je compte donc sur vous , sur votre vigilance et sur votre soutien pour prévenir un maximum de gens afin de les inciter à bien réfléchir avant d´accepter tout nouveau protocole expérimental.
Ma crainte est grande en effet de voir d´autres personnes subir un sort identique au mien!
Merci encore à tous et à bientôt !!!
Restez confiant car il existe encore de bons médecins comme le Docteur Nicole DELEPINE ou le Pr Henry JOYEUX qui ont refusé au mépris de leur tranquillité de vendre leur âme à BIG PHARMA
16 commentaires sur “On a voulu couper les ailes de l’aigle !”
Il se prend pour un aigle le type.
Imbuvable vos lamentations
Un aigle et le centre du monde; la preuve taper son nom dans le net
ezrfez
Bonjour Docteur, merci pour votre témoignage, tellement humain, des affres par lesquels vous êtes passé.
Vous en ressortez grandi et c’est une satisfaction d’autant plus vive pour tous ceux qui, comme moi-même
Du fond de leur cœur, vous soutiennent et vous encouragent.
Nous voyons avec quelle rapidité les choses peuvent basculer, mais gardons le cap de la Vie, nos pensées
Résolument tournées vers la force et la lumière continuent à faire leur chemin.
Avec reconnaissance et amitié,
Philippe Cante
Bonsoir Docteur,
A la lecture de ce témoignage, de cette incroyable aventure, je me dis combien nous avons de la chance d’avoir un jour croisé le chemin de quelqu’un d’aussi humain, d’aussi vivant, toujours en quête de vérité.
Merci pour votre courage, votre foi et votre abnégation nous en manquons parfois. Grace aux technologies nouvelles qui utilisées à bon escient nous rapproches, nous aides dans notre vie, nous permettes de résister, nous pouvons, pas changer le monde, mais, le voir meilleur.
Et surtout, il n’y a pas que dans la médecine ou l’ avidité de mécréants peu scrupuleux fait des ravages! C’est dans tout les domaines, économique, social, service public et privé, politique, etc. etc…
Alors ayons foi en notre chemin de vie et courage en nos convictions.
coucou à Raymonde qui m’a transféré ce message.
pensée pour isabelle….
Bernard Coufignal paysan bio du 47
Merci de votre temoignage doc Moulinier. En étant totalement dslee pour tout ce que vous avez subi, votre ténacité et votre foi en l être humain ( l autre celui doué de conscience) me permettent de lire ces lignes et d’apprendre de biens sordides faits . Cela me pousse à croire q ce n est peut-être pas dû au hasard et q ce malheur vécu dans votre corps et dans tout votre être permettra à bcp d’ autres d’ouvrir les yeux et de connaître ces personnes qui sont dignes de confiance . Venant moi même de subir une discetomie d une hernie discale et donc de me rendre compte du fonctionnement du monde hospitalier depuis le chirurgien jusqu’au brancardier et des jeunes infirmières et de l ambiance de la salle de réveil surchargée. J ai pu constater en 2 nuits les soucis de gestion de St Martin à Pessac.
Bravo pour votre courage votre conscience élevée merci pour votre communication
Noémie Shakti Delagrange
Cher Docteur
Jai ganesha
Dans la langue des Dieux cela se nomme le Kali Yuga.
Douce et réconfortante, pour nos cœurs sont les refrains de la parole de vérité:
« Ce n’est pas un signe de bonne santé mentale d’être bien adapté à une société malade »
Jiddu Krishnamurtiji
Vous, Brigitte, Valérie et toute votre famille êtes dans mon cœur et mes prières.
Merci pour ce que vous faites et surtout pour ce que vous êtes.
Amour, grâce et paix
Aum sri dhanvantrye namah
Pranam
Je confirme pour le Kali Yuga
Bon courage à tous
Bonsoir Docteur MOULINIER,
J’admire votre détermination et votre courage !!
Merci pour l’exemple que vous nous donnez !
Tout cela me laisse à penser que ces « barbares » qui vous agressent réagissent comme cela par peur…..
Recevez mes meilleures pensées et tout comme vous foi et spiritualité nous sauveront.
Courage pour vous, votre épouse et votre famille ainsi que pour toutes les personnes proches de vous.
Ayons de bonnes pensées pour l’avenir et gardons confiance.
Bien à vous, nous sommes à vos côtés,
R. SOLERY
Il y a queques mois, je vous ai expédié mon livre intitulé « VAINCRE DOULEUR ET STRESS », n’ayant reçu aucunes nouvelles de votre part je suppose qu’il a été intercepté par les autorités suprêmes … Mon propre courier a été ouvert durant des années. Vos aventures Ordinales et autres ont provoqué un stress permanent favorisant votre problème de santé et ces conséquences hospitalières. Estimez-vous heureux de ne pas avoir subi d’intervention chirurgicale.
Durant mon service militaire, j’ai souffert de troubles de l’équilibre, de nausées, de troubles visuels, de vertiges, et sourd d’une oreille… j’ai été hospitalisé une semaine à l’hôpital militaire de la base navale où j’effectuais mon service, syndrome de Ménière ont-il dit, bien évidement inexact. Il m’ont donné une permission aussitôt que je leur ai annoncé ma guérison. J’étais malade comme un chien et seuls les murs me permettaient de ne pas tomber, j’ai jeté toutes les pilules dans la première poubelle. Mais moi je savais ce qui avait provoqué ces troubles, pas eux, ils n’ont rien voulu savoir.
C’est un grand bonheur de voir qu’il n’ont pas réussi à vous anéantir malgré tous leurs efforts. Vos amis ont raison, ces dégénérés ne méritent pas votre colère. Tout au plus, le plus grand mépris. Soyons vigilants. Et merci pour vos conseils. Très cordialement.
Bonjour
J’admire votre courage à dénoncer et votre ténacité et je vous suis depuis longtemps.
La médecine, parfois, fait vraiment penser à du crime organisé! Comment et pourquoi tant de « médecins » suivent-ils la mauvaise voie? Ce n’est pas rassurant. Et, pour qui n’a pas la culture, c’est presque mission impossible de lutter, quand on voit ce qui vous est arrivé. Beaucoup n’osent pas protester, car le respect envers les connaissances du médecin est bien profondément enraciné.
Je ne peux que souhaiter à tous une bonne santé afin de se préserver de la médecine actuelle, et un bon entourage.
Heureusement qu’il existe des « résistants.
J’ai aussi rencontré un chirurgien pas pressé d’opérer; cela laisse un peu d’espoir.
Comment se maintenir en forme, pour, justement, éviter le recours à la médecine nocive?
Belle journée.
Tout ce que vous avez vécu Docteur semble sortir d un mauvais film noir…et pourtant c est la réalité, froide, insensible….notre corps, notre esprit ne nous appartiennent plus….il faut suivre le mouvement, les protocoles! Heureusement que des médecins comme vous sont là pour nous ouvrir les yeux et nous permettre de trouver d autres façons d appréhender nos maladies. Merci! Et courage, nous sommes tous à vos côtés, comme à chaque fois. .
Bonjour Doc.,
Désolé pour vous. Je suis un ancien professionnel de la santé en retraite de 79 ans et ancien spécialiste de la fabrication des solutés injectables aqueux en transfusion sanguine.
Je confirme. Méfiez-vous comme de la peste des médecins hospitaliers qui veulent se faire leur réputation sur votre dos. Les labos pharmaceutiques ont plus d’un tour dans leur sac pour corrompre le corps médical et les mettre à leurs genoux. Evitez au maximum de vous faire hospitaliser sauf urgence justifiée.
Je vous souhaite plein de bonnes choses pour la suite et de pouvoir continuer à soigner vos malades suivant la véritable éthique médicale d’Hippocrate et non pas d’Hippocrite.
Cordialement.
Richard.
J’ai oublié de vous dire, que votre histoire, m’a rappelé un incident que j’avais eu aussi, mais en voiture, avec un vertige comme le vôtre, c’est moi par contre qui avait appelé des passants, tant j’avais eu peur, j’ai eu droit tout comme vous aux pompiers, urgences hôpîtal, etc.. heureusement je suis dans une ville, où l’équipement de l’hôpital est rudimentaire, d’ailleurs, je suis repartie à pied et ai repris ma voiture comme si de rien n’était une heure plus tard….
Bonsoir Docteur,
Merci pour ce témoignage qui montre que vous avez un courage, une ténacité, et une lucidité à toute épreuve.
Moi-même et des membres proches avons vécu, des évènements similaires au vôtre. Et je n’ai eu personne à qui en parler, et si vous en parlez , vous êtes tout de suite mise en doute par les autres, car la médecine a un fort pouvoir de persuasion chez beaucoup, des demis-dieux en somme.
J’ai eu dernièrement un gros problème avec un dentiste, en sortant de chez lui, choquée, j’ai même pensé à me rendre à la police, tant je me suis sentie agressée. Ni le Conseil de l’Ordre, ni la CPAM, n’a rien fait pour m’aider. Ce type continuera à sévir, sans problème. En attendant, j’ai eu plusieurs semaines, où je ne pensais qu’à dénoncer les agissements de cette personne, j’ai éprouvé de la colère, du découragement et je voulais réclamer justice.
Mais la seule chose que nous puissons changer, c’est notre regard, sur les évènements, comme vous l’avez dit si justement.
Merci pour ce partage et votre travail.
Bien à vous